Manu raconte à Maîtresse Almerina ...






La brosse: Histoire envoyée par Emmanuel de Paris
Malheureusement pour moi, une brosse de massage traînait juste à ce moment-là sur le bureau. Maîtresse Almerina la saisit, et lorsque le dos en bois dur de la brosse atterrit sur ma fesse droite, je bondis de douleur et me levai.

Moi: "ça ne vas pas?"
M.A.: "Je vais t'apprendre le respect! Tu vas recevoir une correction dont tu vas te souvenirs!"
Moi: "Pas question!"
M.A.: "Pas question? OK, mais alos tu prendes tes affaires et tu t'en vas! Et je ne veux plus te voir!"

Je compris que j'avais perdu la bataille. Maîtresse Almerina m'attacha les mains à la tête du lit et me ligota les chevilles. ellle fit glisser un orreiller sur mon ventre pour rendre mes fesses encore plus vulnérables. Elle fit monter son amie afin que cette derniére assiste à la correction adminstrée "en son honneur".

Pas la peine de dire que trés rapidement je me sentis moins fier. Je suppliai Maîtresse Almerina d'arrêter, tant la douleur était vive. Elle n'accéda à mes supplications que quand elle vit des larmes apparaître dans mes yeux, et à condition que je demande pardon à son amie et à elle, et que je baise leurs pieds avec humilité.

Je n'avais d'autre choix que céder. Mais tandis que je baisais leurs pieds, je sentis brusquement une étrange sensation de paisir monter en moi, et me sentis envahi par un véritable sentiment de reconnaissance envers Maîtresse Almerina. Ce sentiment n'échappa pas à Maîtresse Almerina, ni à son amie, qui lui dit d'un air amusé:

Dis-donc, on dirait qu'il aime ça, baiser nos pieds avec humilité!".

La gifle: Histoire envoyée par Emmanuel de Paris
J'étais maintenant nu et à genoux devant Maîtresse Almerina. Je me sentais beaucoup moins fier de moi. Maîtresse Almerina n'avait pas apprécié les 2 cartes que je lui avais envoyées.

La premiére paire de gifles tomba, une paire de gifle tout-à-fait dans le style de Maîtresse Almerina, c'est-à-dire que l'on sent passer.

M.A.: "Ca, c'est pour t'apprendre à être un petit macho vantard!"

Il y eut un silence, puis, alors que je reprennais mes esprits, la deusiéme paire de gifles tomba, encore plus forte que la premiére.

M.A.: "Ca, c'est pour t'apprendre à oser dire que Nice est un trou"

Il y eut à nouveau une petite pause. Maîtresse Almerina, qui portait un chemisier à manches longues, retroussa ses manches, puis ôta son bracelet et sa montre, afin d'avoir les mains plus libres. Un léger sourire flottait sur ses lévres. Je compris que la paire de gifles que j'allais recevoir allait être particulierement retentissante. Je ne me sentais vraiment plus du tout fier de moi. et comme si cela ne suffisait pas, Maîtresse Almerina ajouta: "Celle-là, tu vas vraiment la sentir passer!"

Effrctivement, je la sentis passer, une de ces paires de giflesqui vous coupent le souffle, et vous passent toute envie de répliquer, une de ces paires de gifles qui vous laissent la marque bien nette des doigts sur la figure et dans votre esprit.

M.A.: "Ca, c'est pour t'apprendre à me tutoyer!"

Il y eut un moment de silence, pendant lequel je "degustai" la brûlure des doigts de Maîtresse Almerina sur ma figure, puis je fus soudain envahi d'une étrange chaleur, comme un fort sentiment de reconnaissanceà l'égard de Maîtresse Almerina. Je me prosternai et me mis à baiser ses pieds avec gratitude et humilité, répétant entre deux baisers: "Merci, Maîtresse Almerina", "Merci, Maîtresse Almerina"...

En entrant chez moi, je m'arrêtai chez un fleuriste. J'envoyai un bouquet de fleurs à Maîtresse Almerina, accompagné du petit mot suivant:

"Maîtresse Almerina, je vous demande humblement pardon pour avoir manqué de respect et pour ma vantardise, et je vous remercie pour les paires de gifles bien méritées. Je baise respectueusement vos pieds, Emmanuel".






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